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Que garde-t-on de l’école dans notre façon d'écrire ?

  • graphotherapeute
  • 15 mai
  • 1 min de lecture


On a tous gardé des souvenirs de notre écriture à l’école.

Parfois, bien plus qu’on ne le croit.


Il y a ceux qui ont appris avec aisance,

 et ceux pour qui le crayon a toujours été un combat.

 Ceux qu’on a félicités pour leur belle écriture.

 Et ceux qu’on a moqués.

 Ceux à qui on a dit :

 « C’est trop lent »,

 « Trop sale »,

 « Pas présentable ».


On garde tout ça dans la main.

 Dans le poignet crispé.

 Dans les lettres qu’on cache.

 Dans le regard qu’on pose sur ce qu’on écrit.

 Dans cette petite voix intérieure qui crie :

 « Ce n’est pas assez bien. »


Une peur de mal faire.

Parfois même, une honte, enfouie, invisible… mais toujours là.

L’apprentissage de l’écriture laisse des traces.

C’est un souvenir inscrit dans le corps.


C’est pour tout cela que la graphothérapie ne se limite pas à observer le geste.

Elle en comprend les subtilités, les particularités,

Elle lit derrière chaque trait, chaque tension, chaque rythme, ce que la voix ne dit pas.

Lire derrière le mouvement,

déceler ce qui a été transmis…

et parfois, ce qui n’aurait jamais dû s’imprimer.


Parce qu’on n’écrit jamais juste avec une main.

On écrit avec toute une histoire.


😉 Et vous ? Quel souvenir gardez-vous de votre apprentissage de l’écriture ?

Qu’est-ce qu’il vous en reste… dans la main, dans le corps, dans la tête ?

 
 
 

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Karine Buchon

Graphothérapeute

Rééducation de l'écriture  

06.95.67.32.27    

buchonkarine@gmail.com

Pornichet.

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