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Et si l’écriture redevenait une priorité éducative ?

  • graphotherapeute
  • il y a 12 heures
  • 1 min de lecture

On pourrait croire que l’écriture s’acquiert naturellement, comme marcher ou parler. On tient un crayon, on trace des lettres… et on sait écrire.


Mais la réalité est bien plus subtile.


Et lorsqu’un maillon de cette chaîne est fragile (mauvaise posture, crainte de rater, geste crispé…), c’est toute l’écriture qui peut devenir laborieuse, voire douloureuse.


Aujourd’hui, l’écriture manuscrite tend à être reléguée au second plan.

On la suppose acquise, automatique, secondaire.

Pourtant, écrire à la main reste un pilier fondamental du développement de l’enfant.


Repenser l’apprentissage de l’écriture, c’est renforcer un savoir sur lequel l’enfant peut s’appuyer pour apprendre, comprendre, s’exprimer et avancer sereinement.


C’est reconnaître qu’écrire mobilise des compétences essentielles

  • des fondations motrices (coordination fine, posture, tonus),

  • des capacités cognitives (planification, mémoire, attention),

  • une structuration spatiale et temporelle,

  • un ancrage symbolique, car la lettre n’est pas qu’un signe : elle est porteuse de sens.


Lorsque ces fondations sont fragiles, c’est tout le parcours scolaire qui peut vaciller. Les répercussions d’une écriture illisible, lente, fatigante vont bien au-delà du simple geste graphique.


Et si l’on cessait de considérer l’écriture comme un acquis, pour la regarder à nouveau comme un apprentissage à part entière ?


Les graphothérapeutes, spécialistes du geste graphomoteur et de l’apprentissage de l’écriture, sont à vos côtés pour que l’écriture ne soit pas un frein à l’apprentissage de vos enfants et de vos élèves.


 
 
 

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Karine Buchon

Graphothérapeute

Rééducation de l'écriture  

06.95.67.32.27    

buchonkarine@gmail.com

Pornichet.

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